Après le désert et ses étendues arides, plus ou moins dangereuses, plus ou moins illusoires, il est très logique d’enchainer avec la neige au cinéma. Parfois utilisée plus que la pluie, l’objectif ici est de comprendre, en citant quelques exemples, les différentes possibilités qu’offre la neige dans la mise en scène mais aussi le récit dans les films.
Après Birdman l’an dernier, Iñárritu propose la grande fresque The Revenant qui réunit des acteurs incroyables ainsi qu’une technique de réalisation virtuose pour retracer une survie effroyable dans l’Ouest sauvage américain.
C’est l’été, le départ des vacances approche et nous retrouvons, enfin, le beau temps. La majorité des vacanciers aura choisi de se reposer au bord de mer, sur la plage. Une occasion en or d’analyser, après la Côte d’Azur, l’utilisation du décor naturel de la plage dans les films. Un motif très cher aux cinéastes, qui l’exploitent pour beaucoup de raisons. Certains, même, y sont très attachés, à l’image de Nanni Moretti avec Je suis un autarcique, Journal intime ou encore Bianca ou même François Ozon avec Sous le sable, Regarde la mer, Une robe d’été, Jeune et jolie et même Cinq fois deux, la fin précisément.
Sous le sable, Une robe d’été, Jeune et jolie, Cinq fois deux, Ozon
Fenêtre sur écran 